Visit Costa Rica

Visit Costa Rica

Le Costa Rica jouit de sa réputation en matière d’écotourisme

Reconnu comme pionnier de l’écotourisme, le Costa Rica tient à préserver son image de paradis vert en poursuivant sa croissance dans l’industrie touristique, autour des secteurs MICE et bien-être.

En 2019, avec pas moins de 3 millions de touristes internationaux, le tourisme dans le pays a augmenté de 4% par rapport à 2018. Aujourd’hui, de plus en plus de touristes souhaitent des voyages durables vers des pays à forte valeur naturelle, comme le Costa Rica. Le Guanacaste est une région clé pour la croissance de ce pays d’Amérique Centrale. Bordée par l’océan Pacifique, avec plus de 700 km de côtes, depuis la frontière avec le Nicaragua jusqu’à l’embouchure du Rio Bongo, cette région abrite une partie importante de la nature du Costa Rica et de son patrimoine culturel.

 
 

Le Costa Rica s’est fixé pour objectif d’être neutre en carbone d’ici 2050. En 2016, il produisait déjà 99% de son électricité à partir des énergies renouvelables. Le pays souhaite désormais mettre en avant son énorme potentiel de multi-destination – notamment dans le tourisme durable, déjà bien implanté, mais aussi autour des secteurs MICE et bien-être.

Le Costa Rica présente une initiative pour lutter contre la déforestation grâce à Google Earth Engine

A l’occasion de la Journée internationale de la Terre nourricière, le ministère de l’Environnement et de l’Énergie (MINAE) a présenté au « GEO-Google Earth Engine (GEE) License Programme” une proposition visant à atténuer la déforestation grâce à l’utilisation de la technologie et des informations spatiales générées par des images satellites.

La proposition « Lutter contre la déforestation et la dégradation des forêts au Costa Rica grâce à Google Earth Engine » vise à améliorer les capacités des institutions nationales à estimer la déforestation et la dégradation des forêts au Costa Rica à l’aide d’informations provenant des satellites et de l’outil de traitement d’images Google Earth.

En outre, l’initiative aspire à s’attaquer au problème de la déforestation en développant un système d’alerte rapide qui intègre cette technologie, ainsi qu’en améliorant les estimations de la régénération des forêts dans le pays et les émissions de carbone liées à ces activités.

L’initiative bénéficie du soutien de l’Institut Météorologique National (IMN), du Secrétariat National REDD +, du Fonds National de Financement des Forêts (FONAFIFO), du Système National d’Aires de Conservation (SINAC), du Secrétariat à la Planification Sectorielle de l’Environnement (SEPLASA), de l’Institut Géographique National, Laboratoire PRIAS / CENAT, de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et de Silvacarbon.

 

 

Le célèbre Guide Michelin publie le tout premier Guide Vert Costa Rica

Le Guide Michelin, l’outil préféré des voyageurs, vient de publier le tout premier Guide Vert spécial Costa Rica, dévoilant toutes les richesses naturelles et culturelles de la destination. A découvrir sans modération !

A travers 10 incontournables de la destination, 20 coups de cœur, 30 randonnées, circuits et excursions ainsi que plus de 470 adresses, le Guide Vert Michelin présente les trésors costariciens à ne pas manquer. Le pays de la « Pura Vida » offre de nombreuses possibilités d’évasion, s’adaptant au goût de chacun : tourisme d’aventure, tourisme culturel, tourisme de bien-être ou encore écotourisme, les voyageurs pourront s’imprégner de cette ambiance chaleureuse au cadre idyllique et reposant. La diversité des paysages, qui fait partie des atouts principaux du Costa Rica, est mise à l’honneur dans ce guide avec notamment 5 itinéraires allant de 1 à 3 semaines. Et pour explorer davantage, 32 cartes et plans sont à la disposition du voyageur !

Pour plus d’informations rendez-vous sur le site : https://www.visitcostarica.com/fr et https://voyages.michelin.fr/

 

 

Les touristes pourront compenser l’empreinte carbone de leurs voyages et ainsi soutenir l’économie verte au Costa Rica

Depuis le 28 octobre, le Costa Rica encourage les touristes à compenser leur empreinte carbone générée par le transport aérien et terrestre, afin de faciliter la mobilisation de ressources financières dans le cadre du Programme de Paiement des Services Environnementaux (PSA), grâce à l’accord signé par l’Institut Costaricien du Tourisme (ICT) et le Fonds National de Financement Forestier (Fonafifo).

Pour connaître le montant économique de la compensation des émissions carbones de chaque trajet, le voyageur pourra utiliser la calculette disponible sur le site web suivant et procéder à l’achat : https://www.fonafifo.go.cr/es/calculadora/

Grâce aux ressources financières de ce projet, il sera possible d’encourager la plantation d’arbres, la protection des bassins hydrographiques, la régénération naturelle ainsi que les systèmes agro forestiers des exploitations et/ou des zones sélectionnées en amont par les deux institutions dans le cadre du programme de paiement des services environnementaux, comme c’est actuellement le cas à la Finca Flores del Bosque et Finca Integral El Jícaro, à Sarapiquí.

Modèle de développement touristique durable

Le modèle de développement touristique du Costa Rica est basé sur la durabilité, comprenant trois axes fondamentaux : la partie environnementale, économique et socioculturelle. Ces trois critères cherchent à générer le bien-être des communautés en respectant leur identité et en déterminant où le facteur culturel est un élément différenciateur.

Comment fonctionne la calculette ?

Afin de pouvoir réaliser une contribution financière, les touristes devront se rendre sur le site web www.fonafifo.com qui permet d’accéder à la calculette et suivre les étapes suivantes :

Données :

Sur cet onglet, le touriste devra spécifier le pays d’origine et l’aéroport correspondant, le numéro du passager (qu’il s’agisse d’un voyage individuel ou en famille), le pays de destination et si le voyage est aller-retour ou seulement aller, puis appuyer sur le bouton « calculer ».

Résultats :

L’utilisateur est redirigé vers l’onglet « résultats » qui affiche le CO2-e[1] généré par le voyage, qui correspond à la compensation que la personne devra payer.

Compensation Une fois l’étape deux terminée, il faut se rendre sur l’onglet « compenser » en précisant le montant en dollars de la compensation des émissions de gaz générées. C’est à cette étape que le touriste pourra effectuer le paiement par carte de crédit ou débit.